Lorsque l’Eau est Proche, mais que l’on Craint pour sa Personne, son Honneur ou ses Biens

Lorsque l’eau est proche, mais que l’on craint pour sa personne, son honneur ou ses biens, ou que l’on craint de perdre ses compagnons, ou que l’on craint qu’un bête ou un homme dangereux s’interpose entre soi et l’eau, ou que l’on est emprisonné, ou incapable de puiser l’eau en absence d’un ustensile comme une corde ou un seau – car dans un cas pareil l’existence de l’eau équivaut à son inexistence -, ou que l’on craint, en faisant ses grandes ablutions, d’être suspecté, comme celui qui passe la nuit chez un ami marié et qui se réveille en état d’impureté ; dans tous ces cas de figure, il est permis de faire les ablutions sèches.

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